Towadako, le 16 septembre 2017.
Assis dans un café, j’observe le calme autour de l’embarcadère de Towadako, avec l’impression étrange d’avoir fait un voyage dans le passé.
Le vent de septembre balaie les feuilles des arbres qui n’ont pas encore jauni, et la surface du lac qui scintille timidement sous les rayons du soleil. Quelques pédalos en forme de cygne, usés et totalement démodés, voguent paisiblement au gré des amoureux.