un monastère de Koyasan, le 1er octobre 2017
La cérémonie commence à six heures. J’ai juste pris le temps d’enfiler un jean et un t-shirt avant de traîner mon corps encore endormi à travers tout le monastère, de ma chambre jusqu’au temple. Tout le monde, pieds nus, s’assied par terre, en tailleur ou sur les genoux, et fait face au cœur du temple. A l’entrée, servie par un moine, une pincée d’encens frottée entre les mains sert à se purifier.